Dix de nos équipages étaient sélectionnés pour participer à cette Finale de cette Coupe de France des Rallyes 2021, neuf seront présents.

Cette finale, divisée en deux étapes et quatre sections pour un parcours total de 438,580 km dont 128,680 km de spéciales, comportait un prologue et neuf spéciales. Le prologue déterminait l’ordre de départ des concurrents pour la finale et n’entrait pas en ligne de compte pour le classement final du rallye. Toutefois les pénalités routières infligées au cours du prologue étaient prises en considération pour le classement.
Première étape : Prologue et 3 spéciales (147, 920 km dont 26,380 km de spéciales prologue inclus).
Seconde étape : 6 spéciales (288,61 km dont 102,300 km de spéciales)

Dans une finale des plus relevée, nos représentants ont connu des fortunes diverses. Cinq abandons dont quatre sont liés à la mécanique pour nos neuf représentants présents. Un abandon sur sortie de route heureusement sans gravité. Bruno Longépé qui rodait sa VW R5 termine à une treizième place qui le satisfait.

Bruno LONGEPE / Sandra RAFFIN Wolkswagen Polo # 21 R-R5 (Etape 1 / 20) 13ème / 13ème R.R5
Thierry LANDAIS / Arnault CAIRAULT Renault Clio RS # 56 R-R3 (Etape 1 / 63) 45ème / 5ème R.R3
Stéphane GARDAN / Mathieu BAZIN Peugeot 106 # 138 F2000.13 (Etape 1 / 117) 53ème / 6ème F2.13
Damien MENARD / Elodie RIAND Peugeot 106 S16 # 156 FA.6 (Etape 1 / 163) 114ème / 12ème FA.6
Frédéric GOBIN / Jean-Luc FRAIGNE Skoda Fabia # 6 R-R5 (Etape 1 / 23) Abandon mécanique CH6A
Romain GUENEC / Brice RICOU Citroën C2 Evo # 140 F2.13 (Etape 1 / 48) Abandon mécanique CH6F
Tenessy GREZES / Valentin LANGLOIS Renault Twingo RS # 103 R-R2 (Etape 1 / 144) Abandon mécanique ES6
Mathieu COMPAGNON / Hervé GUILLOTEAU Ford Fiesta # 101 R-R2 (Etape 1 / 90) Abandon mécanique ES5
Nicolas LEVILLAIN / Nicolas DUMONT Citroën C2 # 100 R-R2 Abandon sur sortie de route sans gravité corporelle ES2
Guillaume LEBLUT / David HEMERY Mitsubishi Lancer Evo8 # 66 FA.8 Forfait avant les vérifications.

Retrouvez notre album photos !

Après deux longues années d’absence et la Finale d’Albi, le monde du rallye amateur retrouve l’ambiance de la Finale de la Coupe de France des Rallyes à Châteauroux (13 ans après la Finale de 2008 déjà organisée dans le Berry) !
9 spéciales sont au programme de cette épreuve qui désignera les successeurs de Jean-Michel Da Cunha et Sébastien Durand, les tenants du titre. Avec 27 R5 au départ, la lutte pour la victoire finale s’annonce terriblement disputée, et au total, ce sont 202 équipages qui vont en découdre sur les routes castelroussines sous les yeux de Nicolas Deschaux, le Président de la Fédération Française du Sport Automobile.

Nos 10 représentants :
Frédéric GOBIN / Jean-Luc FRAIGNE Skoda Fabia # 6 R-R5
Bruno LONGEPE / Sandra RAFFIN Wolkswagen Polo # 21 R-R5
Thierry LANDAIS / Arnault CAIRAULT Renault Clio RS # 56 R-R3
Guillaume LEBLUT / David HEMERY Mitsubishi Lancer Evo8 # 66 FA.8
Nicolas LEVILLAIN / Nicolas DUMONT Citroën C2 # 100 R-R2
Mathieu COMPAGNON / Hervé GUILLOTEAU Ford Fiesta # 101 R-R2
Stéphane GARDAN / Mathieu BAZIN Peugeot 106 # 138 F2000.13
Romain GUENEC / Brice RICOU Citroën C2 Evo # 140 F2000.13
Damien MENARD / Elodie RIAND Peugeot 106 S16 # 156 FA.6
Tenessy GREZES / Valentin LANGLOIS Renault Twingo RS # 103 R-R2 – 25 ans

Toutes les info : https://www.finale2021.com/fr/

Classements en direct : https://www.finale2021.com/fr/concurrents/classement-en-direct

Les 24 Heures Camions ont accueilli l’ultime manche du Championnat de France et l’antépénultième étape du Championnat d’Europe de la FIA. Cet évènement a accueilli, sur deux jours, près de 48 000 personnes.

Ce week-end, à l’occasion de leur 36e édition, les 24 Heures Camions ont fêté leur 40e anniversaire. Devant près de 48 000 personnes réunies sur le cumul des deux jours, Téo Calvet a remporté pour la première fois de sa carrière le Championnat de France Camions. Après un week-end tout en maîtrise et une victoire dans l’ultime course de la saison, il devance Anthony Janiec, triple champion de France, qui aura tout tenté pour remonter au classement. Malgré 3 victoires sur les 4 courses au programme, ce qui lui permet de remporter le challenge 24 Heures Camions, il doit s’incliner au classement général de la saison.

Le Championnat d’Europe Camions FIA ETRC a de son côté confirmé la nette domination de Norbert Kiss. Vainqueur de 2 courses sur 4 durant le week-end, le Hongrois accroît son avance en tête du championnat, devant le pilote tchèque Adam Lacko.

Les 24 Heures Camions, comme les 24 Heures Motos ou les 24 Heures du Mans, sont bien évidemment une compétition attendue de tous, concurrents et spectateurs, mais aussi un événement festif, convivial et amical. Camions américains, camions équipés tuning, camions peints, camions anciens : il y en avait pour tous les goûts dans le Truck Show et ses deux défilés. 236 camions ont ainsi pu rouler sur le circuit Bugatti, samedi soir et dimanche midi, pour ce qui constitue toujours un moment fort pour les spectateurs. Plusieurs constructeurs étaient présents dont Renault Trucks, partenaire officiel des 24 Heures Camions.

L’espace emploi et formation a de son côté accueilli cette année près de 30 sociétés de transport, ainsi que des organismes de formations, agences d’intérim ou lycées professionnels du secteur. Cet espace, destiné aux conducteurs routiers, mécaniciens poids lourds et toute personne en recherche d’emploi portant un intérêt au transport a permis aux visiteurs de déposer leur CV et d’échanger avec les exposants.

UN CARBURANT 100% DURABLE POUR LES CAMIONS DU FIA ETRC
Depuis 2019, l’Association européenne des courses de camions (ETRA) et la Commission FIA des courses de camions travaillent sur une feuille de route pour la durabilité. L’objectif est d’intégrer progressivement des sources d’énergie respectueuses de l’environnement pour les courses de camions, avec l’introduction du biocarburant à court terme. À la suite d’un appel d’offres officiel et de l’approbation du Conseil mondial du sport automobile de la FIA, pour 2021, l’ETRC passe à un carburant 100% durable, le biodiesel HVO100 fourni par TotalEnergies, devenant ainsi la première compétition réglementée par la FIA à le faire.

Suite à la Covid, l’écurie Côte de Lumière, avec beaucoup de tristesse, reporte à la même date en 2022 le premier rallye Vendée Littoral organisé avec l’ASA Nantes Atlantique.

Malgré le soutien des deux municipalités et au vu du contexte nous ne voulons pas solliciter nos fidèles partenaires.

Rendez vous en 2022 avec deux spéciales inédites et d’autres surprises.

Merci à tous !

Dix de nos licencié(e)s participaient à la Finale de cette Coupe de France 2021, Célia Debe, Christophe Chaine, Denis Pilet, Jimmy Rousseau et Benoît Taviaux (A.S.A.C.O. Vallée de la Vie), Christophe Mahieux et Vincent Rannou (A.S.A.C.O. Océane), Clément Lebreton et François Metayer (A.S.A. Maine Bretagne) et Romain Richardeau (A.S.A.C.O. Bretagne).

Belle prestation de nos représentants et des regrets pour Benoît Taviaux qui perd la victoire pour 223 centièmes dans la dernière manche de cette finale, second au général et meilleur Junior, il remporte la classe DE.5S. Romain Richardeau s’impose dans le groupe FS-FC. Christophe Mahieux et Vincent Rannou remportent les classes F2000.2 et A-FA.3. Célia Debé prend la troisième place des Juniors féminines.

Classé 2 – Benoît Taviaux Dallara F305 # 11 Second du groupe DE, vainqueur de classe DE.5S et meilleur Junior
Classé 20 – Clément Lebreton Dallara F300 # 13 19ème du groupe DE et 11ème de classe DE.5S
Classé 27 – Denis Pilet Silvercar S2F Evo # 47 4ème du groupe CN-CNF-CM et 3ème catégorie CM
Classé 35 – Romain Richardeau Simca Rallye 3 # 105 Vainqueur du groupe FC-FS et vainqueur de classe FC-FS.1
Classé 46 – Christophe Mahieux Peugeot 106 # 97 3ème du groupe F2000 et vainqueur de classe F2000.2
Classé 52 – Vincent Rannou Renault Clio 2 Cup # 58 4ème du groupe A-FA et vainqueur de classe A-FA.3
Classé 55 – François Metayer Citroën AX Coupé Evo # 101 5ème du groupe F2000 et second de classe F2000.1
Classé 61 – Jimmy Rousseau Renault Clio 2 Cup # 53 A-FA 8ème du groupe A-FA et 4ème de classe A-FA.3
Classé 88 – Christophe Chaine Renault Clio Williams # 71 10ème du groupe N-FN et 6ème de classe N-FN.3
Classée 101 – Célia Debe Citroën Saxo # 59 19ème du groupe A-FA, 6ème de classe A-FA.2 et 3ème Junior féminine.

Organisé par l’A.S.A.C.O. Vallée de la Vie en association avec l’Écurie du Marais, le cinquième Slalom Régional de la Vendée disputé sur la piste de karting de La Michetterie à Fontenay-Le-Comte comptait pour la Coupe de France des Slaloms 2022, pour le Championnat des slaloms de la Ligue Bretagne Pays de La Loire 2021 et pour les Trophées de l’Automobile Club de l’Ouest 2021. Ce slalom se disputait sur 3 manches.

77 pilotes figuraient sur la liste des engagés (2 forfaits), 75 seront autorisés à prendre part aux essais et à la course et 70 seront classés.
Benoît TAVIAUX s’impose à domicile. Les essais étaient dominés par Laurent Lugardon en 1’26’’50 suivi par Benoît Taviaux en 1’27’’12 et par Arthur Bodin 1’29’’44. Laurent Lugardon pointait en tête à l’issue de la première manche ratée de Benoît Taviaux, ce dernier mettait les choses au point en alignant les meilleurs chronos dans la seconde (1’24’’65) et dans la troisième manche (1’24’’61). Laurent Lugardon et Nicolas Filiatre complétaient le podium Vendéen.

Retrouvez les images de Christophe ici et le classement de l’épreuve là !

Toyota remporte les 24 Heures du Mans 2021

Pour la quatrième année consécutive, Toyota s’impose aux 24 Heures du Mans. Mais ce nouveau succès est inédit par plusieurs aspects. Tout d’abord, il est le premier de la nouvelle ère des Hypercar. La GR010 Hybrid entre ainsi dans la légende de l’épreuve dès sa première sortie, devenant la toute première Hypercar victorieuse. Surtout, ce sont les pilotes de l’équipage #7, malheureux par le passé, qui s’imposent enfin. Mike Conway, Kamui Kobayashi et José María López sont les grands vainqueurs.

Hypercar

Cette 89e édition des 24 Heures du Mans était riche de questions avant même le départ. On pouvait se demander si les Toyota allaient passer à travers les ennuis mécaniques souvent associés à la première participation d’une voiture sur une durée de 24 heures. On s’interrogeait aussi sur le potentiel des Glickenhaus 007 LMH, vues jusqu’à présent sur deux manches du Championnat du Monde d’Endurance (WEC). Alpine semblait également être un candidat sérieux à la victoire.

Après 24 heures d’effort, ce sont les machines nippones qui signent un doublé. La Toyota GR010 – Hybrid #7 de Conway / Kobayashi / López devance la #8 de Buemi / Nakajima / Hartley. Pour les vainqueurs du jour, c’est une délivrance. Sur la deuxième marche du podium en 2018 et 2019, troisièmes en 2020, leur histoire aux 24 Heures du Mans est pavée de coups du sort, de malchance et d’erreurs qui avaient coûté la victoire. Le Mans choisit ses vainqueurs, dit-on. Le Mans a choisi de récompenser ce trio pour sa persévérance et son sérieux en piste cette année. `

Depuis le départ hier à 16 heures, l’équipage victorieux a connu une course fluide. L’épreuve fut un récital, la #7 étant en tête à chaque pointage horaire (à l’exception de la 13e heure). Sur la #8, Sébastien Buemi devait cravacher lors de son premier relai pour récupérer le temps perdu dans l’accrochage avec la Glickenhaus 007 LMH #708 d’Olivier Pla au premier virage. Revenu en deuxième position après un peu plus d’une heure, il n’allait pas véritablement inquiéter la #7, solide leader. Les deux Toyota n’allaient ensuite jamais descendre au classement.

Derrière, c’est l’Alpine A480-Gibson qui est apparue très vite comme la principale concurrente, prête à bondir en cas de problème. André Negrão, Nicolas Lapierre et Matthieu Vaxiviere restaient dans l’ombre des Toyota avec plusieurs alertes, et notamment une sortie de piste de Matthieu Vaxiviere à la première chicane des Hunaudières avant la mi-course. La voiture française termine troisième. Que dire des deux Glickenhaus 007 LMH ? Pour leur première participation aux 24 Heures du Mans, les Américaines ont été à la hauteur de l’événement. La #708 devance la #709, avec respectivement 367 et 364 tours couverts. Elles possèdent indéniablement un potentiel qui pourrait faire d’elles des candidates à la victoire. Jim Glickenhaus peut repartir fier du Mans, les voitures rouges et blanches ont fait honneur à l’esprit de ces constructeurs indépendants qui se battent depuis toujours en Sarthe.

LMP2

Avec 25 voitures engagées et plusieurs équipes de haut niveau, il était difficile de définir une hiérarchie en LMP2 avant le départ. Rapidement, l’Oreca 07-Gibson #38 de l’équipe Jota s’extirpait du peloton sur une piste séchante, António Félix da Costa étant impérial. Mais Anthony Davidson sortait de la piste à 18 h 42 à l’entame de la courbe Dunlop après le retour de la pluie. United Autosports prenait le commandement. Après 21 heures, Manuel Maldonado perdait le contrôle à l’approche de la courbe Dunlop sur la #32 et traversait le bac à graviers pour finalement percuter la voiture sœur #23. Les chances de l’équipe étaient sérieusement mises à mal, et allaient être encore contrariées plus tard avec des problèmes de boîte de vitesses sur la #22.

En début de soirée également, l’Aurus 01-Gibson #26 G-Drive Racing avec Franco Colapinto entrait en collision avec la voiture engagée par le Richard Mille Racing Team (Oreca 07-Gibson #1 de Calderón / Floersch / Visser). C’est ainsi qu’à partir de la septième heure de course, les deux voitures engagées par Team WRT émergeaient en tête. L’équipe de Vincent Vosse – qui, rappelons-le, débute en endurance prototype cette saison – enlève la victoire aux 24 Heures du Mans. Mais ce ne sont pas Robert Kubica, Louis Delétraz et Yifei Ye les vainqueurs. En tête pendant la majorité de l’épreuve, la voiture était arrêtée en piste à cinq minutes du but. Robin Frijns, Ferdinand Habsburg et Charles Milesi sont vainqueurs. L’Oreca 07-Gibson #28 Jota de Sean Gelael, Stoffel Vandoorne et Tom Blomqvist est deuxième. Panis Racing avec la #65 complète le podium avec Canal / Stevens / Allen.

L’Oreca 07-Gibson #21 Dragonspeed USA de Hedman / Hanley / Montoya inaugure le classement Pro-Am. Suivent deux autres Oreca 07-Gibson. La #70 de l’équipe Realteam Racing (Garcia / Duval / Nato) et la #29 de Racing Team Nederland (Van Eerd / Van Der Garde / Van Uitert).

Après une course sans embuche, l’Innovative Car #84 de l’Association SRT41 (Aoki / Bailly / Lahaye) termine 33e du classement général.

LMGTE Pro

AF Corse offre à Ferrari un nouveau succès de catégorie aux 24 Heures du Mans. Avant de partir à la conquête d’une dixième victoire au général dans le futur avec une Hypercar, le constructeur italien a brillé avec la 488 GTE Evo #51. Au début de l’épreuve, les Corvette C8.R semblaient les plus à l’aise. La structure américaine gérait parfaitement les conditions météorologiques, choisissant de basculer en pneus slick après 40 minutes. Mais les Ferrari allaient prendre les rênes, à la faveur d’une meilleure régularité. La #51 en particulier tenait les commandes avec Pier Guidi / Calado / Ledogar. Il s’agit du quatrième succès pour les hommes d’Amato Ferrari en LMGTE Pro, 10 ans après leur première participation en Sarthe ! Les deux Porsche 911 RSR-19 ont animé la catégorie sans jamais sembler capables de s’imposer. En cause, un rythme de course en retrait. On attend la revanche en 2022.

LMGTE Am

Le duo François Perrodo et Nicklas Nielsen est champion en titre du WEC. Les deux hommes couraient depuis des années après la grande victoire qui manquait à leur carrière : Le Mans. En ce dimanche 22 août 2021, ils peuvent fièrement brandir leur trophée avec leur équipier Alessio Rovera. AF Corse décroche au passage sa première victoire en LMGTE Am, récompense d’une fidélité sans faille depuis 2011 (avec deux pole positions et quatre podiums). Aston Martin, tenant du titre, doit se contenter de la deuxième place après avoir souvent occupé la tête. TF Sport place la Vantage AMR #33 de Keating / Pereira / Fraga devant la Ferrari 488 GTE Evo #80 Iron Lynx de Cressoni / Mastronardi / Illot. Les trois voitures terminent dans le même tour.

Liste des abandons

Aston Martin Vantage AMR #98 – Aston Martin Racing : sortie de piste à 19 h 55
Oreca 07-Gibson #1 – RichardMille Racing Team : sortie de piste à 22 h 10
Porsche 911 RSR-19 #99 – Proton Competition : train arrière droit cassé à 23 h 55
Aurus 01-Gibson #25 – G-Drive Racing : sortie de piste à 00 h 41
Oreca 07-Gibson #32 – United Autosports : sortie de piste
Porsche 911 RSR-19 #56 – Team Project 1 : sortie de piste à 1 h 12
Ferrari 488 GTE Evo #47 – Cetilar Racing : sortie de piste
Ferrari 488 GTE Evo #55 – Spirit of Race : sortie de piste à 1 h 17
Ferrari 488 GTE Evo #66 – JMW Motorsport : boîte de vitesse cassée à 1 h 47
Porsche 911 RSR-19 #79 – WeatherTech Racing : sortie de piste à 2 h 53
Porsche 911 RSR-19 #46 – Team Project 1 : problème mécanique à 3 h 17
Ferrari 488 GTE Evo #57 – Kessel Racing : problème moteur à 3 h 55
Oreca 07-Gibson #24 – PR1 Motorsports Mathiasen : problème mécanique
Aston Martin Vantage AMR #388 – Rinaldi Racing : sortie de piste à 12 h 25

Lien vers nos photos du week-end.

TOYOTA DÉCROCHE L’HYPERPOLE 2021
C’est Toyota qui s’élancera en tête de la 89e édition des 24 Heures du Mans ce samedi 21 août 2021 à 16 heures. Kamui Kobayashi a décroché l’Hyperpole en 3’23”900.

Hypercar

C’est l’Alpine A480-Gibson #36 qui s’élançait la première pour aller chercher le meilleur temps possible. Au volant, Nicolas Lapierre bénéficiait d’une piste claire avec un soleil couchant et une température fraîche. Il bouclait en premier les 13,626 kilomètres en 3’28’’506. Mais il était rapidement battu par la Glickenhaus 007 LMH #708 vue en 3’26’’475 avec Romain Dumas. Puis les deux Toyota GR010 Hybrid grimpaient successivement en haut de la feuille de temps. Brendon Hartley, deuxième, en 3’25’133 avec la #8, devancé par la #7 de Kamui Kobayashi en… 3’23’’900. Ce temps servait de première référence. Kévin Estre (Porsche 911 RSR-19 Porsche Team #92) sortait de la piste violemment dans les instants qui suivaient (à 21 h 07), entraînant un drapeau rouge. À la reprise, malgré plusieurs tentatives, les pilotes Toyota ne parvenaient pas à améliorer.

Hyperpole pour Toyota avec la GR010 #7 devant la #8 ! Il s’agit de la troisième pole position consécutive pour Kamui Kobayashi, sa quatrième personnelle. Toyota en compte maintenant sept aux 24 Heures du Mans.

Toyota GR010 – Hybrid # 7 Toyota Gazoo Racing / Mike Conway – Kamui Kobayashi – Jose Maria Lopez – 3’23”900
Toyota GR010 – Hybrid # 8 Toyota Gazoo Racing / Sébastien Buemi – Kazuki Nakajima – Brendon Hartley – 3’24”195
Alpine A480 – Gibson # 36 Alpine Elf Matmut / André Negrão – Nicolas Lapierre – Matthieu Vaxiviere – 3’25”574
Glickenhaus 007 LMH # 708 Glickenhaus Racing Usa / Luis Felipe Derani – Franck Mailleux – Olivier Pla – 3’25”639
Glickenhaus 007 LMH # 709 Glickenhaus Racing / Ryan Briscoe – Richard Westbrook – Romain Dumas – 3’26’931

 LMP2

En LMP2, la lutte pour l’Hyperpole tournait rapidement à un face-à-face entre l’équipe Jota (Oreca 07 – Gibson #38) et l’équipe Team WRT (Oreca 07 – Gibson #41). En 3’28’’574, Antonio Félix Da Costa prenait rapidement le commandement pour Jota, mais Louis Déletraz passait devant pour Team WRT en 3’28’’470. Le Portugais de l’équipe Jota répliquait en 3’27’’950. Hyperpole pour Antonio Félix Da Costa !

Oreca 07 – Gibson # 38 Jota / Roberto Gonzalez – Antonio Felix Da Costa – Anthony Davidson – 3’27’950
Oreca 07 – Gibson # 41 Team WRT / Robert Kubica – Louis Delétraz – Yifei Ye – 3’28”470
Oreca 07 – Gibson # 65 Panis Racing / Julien Canal – Will Stevens – James Allen – 3’28”586

 LMGTE Pro

Kévin Estre n’aura pas signé la pole position. Depuis le début de saison du Championnat du Monde d’Endurance (WEC), il était imbattable dans l’exercice. À Spa-Francorchamps puis à Portimao et Monza, il était systématiquement le plus rapide. Mais il perdait le contrôle de sa Porsche 911 RSR-19 lors de la séance Hyperpole au niveau du virage d’Indianapolis. Touchant le mur de pneus de protection à l’arrière, il stoppait là sa conquête. Mais une Porsche est parvenue à décrocher l’Hyperpole : la 911 RSR-19 de l’équipe Hub Auto Racing avec Dries Vanthoor en 3’46’’882.

Porsche 911 RSR – 19 # 72 Hub Auto Racing / Dries Vanthoor – Alvaro Parente – Maxime Martin – 3’46”882
Ferrari 488 GTE EVO # 52 AF Corse / Daniel Serra – Miguel Molina – Sam Bird – 3’47”063
Chevrolet Corvette C8.R # 64 Corvette Racing / Tommy Milner – Nicholas Tandy – Alexander Sims – 3’47”093

 LMGTE Am

Les LMGTE Am ont vu briller le Français Julien Andlauer. En 3’47’’987, il bat (encore) le record de la catégorie. Un trio Porsche est en tête avec la #88 devant la #86 (GR Racing) puis la #56 (Team Project 1). La seule Aston Martin Vantage AMR présente dans la séance ferme la marche, derrière les Ferrari 488 GTE Evo.

Porsche 911 RSR – 19 # 88 Dempsey-Proton Racing / Julien Andlauer – Dominique Bastien – Lance Arnold – 3’47”987
Porsche 911 RSR – 19 # 86 Gr Racing / Michael Wainwright – Benjamin Barker – Tom Gamble – 3’48”560
Porsche 911 RSR – 19 # 56 Team Project 1 / Egidio Perfetti – Matteo Cairoli – Riccardo Pera – 3’48”876

Nos photos des essais sont à retrouver ici !

Course de côte du Mont-Dore / Chambon sur lac –  Championnat de France de la Montagne – les 6, 7 et 8 août.
Comme chaque année un certain nombre de nos licencié(e)s participait à cette manche du Championnat de France de la Montagne.

Ils étaient 14 à figurer sur la liste initiale des engagés, Célia Debe, Charly Brosset et Benoît Taviaux (A.S.A.C.O. Vallée de la Vie), Rémy Brouard, Anthony Gueudry, Noël Joubert, Clément Lebot et Marc Le Goff (A.S.A. Maine Bretagne), Jean-Christophe Henry, Sébastien Kerlaux, Anthony Le Beller, Ferdinand Loton, Sylvain Moyon et Sébastien Tourillon (A.S.A.C.O. Bretagne).

Résultat somme toute satisfaisant pour nos représentants dans la série A, Benoît Taviaux se montrera le meilleur avec la 25ème place au général final juste devant Sylvain Moyon et Anthony Le Beller. Anthony Gueudry, Clément Lebot et Sébastien Tourillon se classent un peu plus loin dans le top 30. Résultats plus mitigés pour Jean-Christophe Henry, Rémy Brouard et Sébastien Kerlaux.

Dans la série B, nos cinq représentants obtiennent quatre podiums de classe, victoire en GTTS.1 pour Ferdinand Loton, secondes places pour Marc Le Goff et Charly Brosset en FC.2 et en N.3. Enfin, notre seule féminine, Célia Debe pour qui le Mont Dore était une grande première obtient la troisième place de la classe A.2 malgré un problème mécanique dans la seconde montée.

Retrouver nos représentants en image ici !

Les 62 concurrents de cette 89e édition des 24 Heures du Mans viennent d’en terminer avec les neuf heures d’essais programmées ce dimanche, dans le cadre de la Journée Test. Une journée marquée par les débuts de la catégorie Hypercar dans laquelle le tenant du titre, Toyota, s’est une nouvelle fois distingué.

26°C dans l’air et 46°C sur la piste, telles étaient les conditions quand la seconde partie de la Journée Test s’est ouverte à 14 heures, ce dimanche. Le Japonais Nakajima (Toyota GR010 Hybrid #8) profitait de ce début d’après-midi ensoleillé pour battre le meilleur temps de la séance du matin, dès son premier tour lancé (3’30’’440). Son compatriote Kobayashi le suivait de près sur la voiture sœur #7 (3’30’’594). Une demi-heure plus tard, l’Alpine A480 s’intercalait entre ses concurrentes Hypercar en réalisant un chrono de 3’30’’276, avec André Negrão à son volant. À 15 h 45, Brendon Hartley (Toyota GR010 Hybrid #8) franchissait la barre des trois minutes trente (3’29’’643) alors que la Toyota #7 était vue en tête-à-queue au virage du Tertre Rouge quelques instants après, sans conséquence.

Les deux Glickenhaus 007 LMH (#708 et #709) progressaient peu à peu dans l’après-midi, se rapprochant de leurs concurrentes directes, et mettant à distance les LMP2 de la catégorie inférieure au fil du travail de réglages.

Cette après-midi d’essais a été l’occasion de simuler les procédures de slow zones et de voiture de sécurité. À noter que les règles sous régime de voiture de sécurité (safety car) sont modifiées cette année. Les voitures 2e de leur catégorie seront autorisées, une fois par procédure, à dépasser la première voiture de sécurité qu’elles rejoignent (il y en a trois pour couvrir les 13,626 km du circuit des 24 Heures), pour rejoindre l’arrière de la file du safety car suivant.

En catégorie LMP2, l’ancien pilote de Formule 1 et équipier de Romain Grosjean, Kevin Magnussen, faisait connaissance avec le circuit des 24 Heures. Rappelons que le Danois fait équipe avec deux compatriotes, dont son père Jan, qui après une courte carrière en F1, a été longtemps titulaire en endurance pour Corvette. De son côté, Patrick Pilet améliorait la marque sur l’Oreca-Gibson #48 Idec Sport, alors que la seconde voiture de l’écurie restait clouée à son stand après ses mésaventures de la matinée. Peu avant 17 heures, Fabio Scherer perdait le contrôle de son prototype et allait taper le rail au virage d’Indianapolis. Il parvenait à rentrer à son stand par la suite, aileron arrière touché.

La catégorie LMGTE Pro a vu la forte progression de la Porsche #72 Hub Auto Racing qui a gagné trois bonnes secondes sur son meilleur chrono du matin. Le travail de réglages de la première demi-journée payait dans la seconde. À noter que la Corvette #63 n’a pris la piste que très tard, après avoir été contrainte à un changement de groupe propulseur (moteur et boîte de vitesses). C’est un gros désavantage pour l’équipe américaine dont la C8.R posait ses roues pour la première fois au Mans ce dimanche. Ferrari et Porsche ont poursuivi leur travail pendant ce temps, espérant distancer déjà un peu les deux Corvette. Bruni partait à la faute au volant de la Porsche #91 à une demi-heure de la fin de la séance.

En LMGTE Am, après quelques hors-piste et autres détours par les bacs à graviers, sans conséquence majeure pour les différentes voitures impliquées, c’est Porsche et Harry Tincknell (#99 Proton Competition) qui établissent la référence de l’après-midi, et celle de la journée par la même occasion.

Le top 5 du classement général à l’issue de la Journée Test :

Glickenhaus 007 LMH #708 – 3’29”115
Toyota GR010 Hybrid #7 – 3’29”340
Toyota GR010 Hybrid #8 – 3’29”622
Alpine A470-Gibson #36 3’30”111
Glickenhaus 007 LMH #709 – 3’30”924

Les meilleurs chronos des trois autres catégories :

LMP2 : Oreca 07-Gibson #48 – Idec Sport – 3’31’’105
LMGTE Pro : Porsche 911 RSR #79 – 3’52’’938
LMGTE Am : Porsche 911 RSR-19 #99 – 3’54’’472
Les voitures seront de retour en piste mercredi pour les deux premières séances d’essais libres (14 heures – 17 heures et 22 heures minuit) et la séance de qualification (19 heures – 20 heures).

Retrouvez nos photos de la journée et test ici !

Les classements de la journée test sont à télécharger ici !