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24 Heures du Mans – Journée test

IMG 1025Un bon dimanche au Mans pour Alonso

La Journée Test des 24 Heures du Mans, deuxième manche du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA, a vu un rookie, Fernando Alonso, signer le meilleur temps au volant de son prototype Toyota TS050 Hybrid. L’Espagnol raconte cette nouvelle expérience.
 
Installé en conférence de presse avec les pilotes ayant signé les meilleurs temps de la Journée Test, préparatoire aux 24 Heures du Mans, en catégories LM P2 (Nathanaël Berthon), LM GTE Pro (Patrick Pilet) et LM GTE Am (Julien Andlauer), Fernando Alonso qui a réalisé 3’19”066 au volant de sa Toyota TS050 Hybrid, déclarait.  “Ca a été une bonne journée pour nous, un bon programme pour préparer la grande course dans deux semaines. La voiture a été parfaite dès les premiers tours. Pour moi, il s’agissait aussi de me familiariser avec le circuit car je m’y étais entraîné sur le simulateur, mais pas en réalité. Ce circuit est très plaisant, notamment pour ce genre de voiture. C’est même encore mieux qu’à Spa, où je pense j’avais des références avec la F1. Cette voiture est absolument dessinée pour le circuit du Mans.”
 
Autre roookie en catégorie LMP1, Jenson Button, champion du monde de F1 2009, engagé sur la SMP n°11,  5e chrono, expliquait : ” La vitesse à laquelle ces prototypes peuvent passer en courbe est impressionnante. Il faut vraiment avoir confiance dans la voiture. Le problème, c’est qu’il y a beaucoup de trafic et c’est difficile de dépasser dans certains enchaînements. J’aurais aimé faire plus de tours. On voudrait toujours rouler plus et pouvoir repartir des stands avec des pneus neufs pour voir le potentiel de la voiture. Mais il faut rester concentré sur le programme d’essais. Je suis impatient pour la suite, car nous avons encore une belle marge de progression.”
 
Débutant lui aussi dans la Sarthe, dans la catégorie LMP2, avec United Autosports, Juan Pablo Montoya (24 e chrono) lâchait: “Je suis arrivé aujourd’hui à 8 heures du matin et j’ai piloté la voiture pour la première fois cet après-midi. Ici, les virages rapides sont fantastiques. Toute ma vie, j’ai adoré ça, alors j’adore les virages Porsche. Les commissaires font un travail fantastique, ils sont tout simplement extraordinaires.”

Prochaine étape pour tous les concurrents des 24 Heures du Mans (2e manche du championnat du monde d’endurance), dimanche et lundi, pour le traditionnel Pesage.

Télécharger tous les résultats.

 

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24 Heures du Mans – L’EOT en question

IMG 5462Avant la Journée Test des 24 Heures du Mans, Thierry Bouvet, le délégué technique de l’Automobile Club de l’Ouest, démêle le vrai du faux à propos de l’EOT (équivalence de technologie). Il rappelle l’origine et la finalité de ce principe, fruit d’un travail de concertation entre l’ACO, la FIA et les constructeurs de châssis et moteurs LMP1.

« Balance de performance (BOP) ou Equivalence de technologie (EOT), pouvez-vous nous expliquer la différence ?
Utilisée en catégorie LM GTE, la Balance de Performance permet à des sportives de route aux caractéristiques techniques bien différentes (par exemple, position de moteur à l’avant ou à l’arrière) de pouvoir rivaliser en course.Pour parvenir à ce niveau de compétitivité entre les concurrents, les LMGTE sont tout d’abord amenées dans une fenêtre de performance aérodynamique aussi proche que possible et ensuite des ajustements sont réalisés principalement sur le poids des machines, leur puissance mais aussi sur l’autonomie (capacité du réservoir).
L’Equivalence de Technologie a elle pour objectif, d’assurer une catégorie LMP1 attractive en équilibrant au maximum le potentiel de performance des voitures à technologies hybrides et non-hybrides puisque cette année, ces deux types de technologies sont en concurrence directe. La situation pour cette saison 2018-2019 est en effet nouvelle puisqu’une seule équipe d’usine, Toyota, engage un prototype hybride (LM P1H) face à des équipes privées qui s’alignent avec des voitures non hybrides (LM P1NH).Cette EOT doit permettre aux équipes privées, nouvelles venues avec des voitures toutes récentes et non hybrides, de s’approcher des performances des prototypes hybrides de Toyota, que le constructeur japonais développe depuis 2016.

Quel est le principe de l’EOT ?
Avec la FIA, nous avions déjà établi une EOT, en 2014, pour équilibrer les performances essence-diesel. Les ajustements se font par l’attribution de carburant (débit, quantité par tour…) qui influe sur la performance et l’autonomie des voitures. Le débitmètre et de nombreux capteurs sont des outils précieux pour la définir.
Aujourd’hui, du fait des règlements techniques différents entre les LM P1H et les LM P1NH (aérodynamique, poids total de la voiture…), et au sein même des LM P1NH (suivant qu’ils soient mus par des moteurs atmosphérique ou turbo), nous avons opté à nouveau pour une EOT.

Comment l’avez-vous établie avec ce nouveau contexte ?
L’hiver dernier, un groupe de travail technique regroupant la FIA, l’ACO et les constructeurs de châssis et de moteurs LMP1 s’est réuni à plusieurs reprises pour en définir les bases. En références, nous disposions des données du prototype hybride de Toyota. Pour les LM P1NH, qui étaient en cours de fabrication, les fabricants ont fourni des éléments à partir de simulation. Aussi, et alors accepté par tous, nous ne pouvions nous interdire quelques adaptations futures. Le Prologue, puis la course de Spa nous ont donné des indications précieuses. Tout en ne négligeant pas le fait que ces nouvelles LM P1NH sont en pleine phase de développement et possèdent donc une marge de progression conséquente, nous avons décidé de quelques modifications. Nous devons garantir l’équité sportive. Les aménagements techniques consentis aux voitures privées ont pour vocation de réduire l’écart au minimum avec les voitures hybrides, pas de les placer artificiellement devant. Des outils nous permettent d’assurer cette équité. De même, la technologie hybride doit garder son bien fondé : au Mans, une LM P1H bouclera un tour de plus que les LM P1NH.

A quelques jours de la Journée Test au Mans,  l’EOT fait encore débat. Par exemple, en LM P1NH, l’équilibre entre moteurs atmosphérique et turbo ne semble pas bien accepté ?
Lors de notre analyse en 2017, nous avions conclu à une non-différenciation entre ces deux motorisations car beaucoup de paramètres rentrent en ligne de compte et bien au-delà du simple chiffre de puissance.Nous avons par exemple une différence au niveau du poids car les accessoires sont plus lourds pour le moteur turbo, mais aussi au niveau du refroidissement (le moteur turbo doit refroidir l’air d’admission), éventuellement au niveau de la consommation d’essence et tout cela a forcément des répercussions sur la performance de la voiture (poids avec sa répartition des masses avant/arrière, performance aérodynamique comme la trainée…).Suite aux données enregistrées au Prologue et à Spa, nos équipes ont procédé à de nombreuses analyses et aujourd’hui nos conclusions peuvent se lire par l’EOT pour Le Mans test.

A Spa, justement, les Toyota étaient plus rapides que les LMP1 privées, une seconde par tour, et pour la Journée Test  au Mans ce 3 juin, vous avez décidé de réduire le débit de carburant des LMP1 Privées (108 kg/h de carburant max pour les non hybrides et non plus 110, contre 80 kg/h de carburant max pour les hybrides)! Pourquoi ?
Lors de la construction de l’EOT pour le championnat de 2014, et ce afin de garantir une cohérence d’utilisation du système hybride avec les autres éléments de la voiture, les LMP1H ont un coefficient multiplicateur au kilomètre du système hybride de +55% sur les circuits autres que Le Mans (qui est spécifique avec ses longues lignes droites) ce qui était donc le cas à Spa.
De ce fait, les performances relatives des LM P1H et LM P1NH sont différentes entre Spa et Le Mans et en défaveur des voitures hybrides pour Le Mans.
Nous avons donc utilisé toutes les données enregistrées aussi bien lors du Prologue qu’à Spa pour affiner l’EOT pour Le Mans et ainsi rapprocher les privés de Toyota.
Encore une fois, entre Spa et la Journée Test, les LMP1 privées ont poursuivi leur marge d’évolution. Les performances vont être analysées pendant et après la journée Test par nos spécialistes ACO et FIA.

Certains concurrents en LM P1NH craignent de devoir ”lever le pied”?
Si la consommation au tour est un paramètre restrictif, sa gestion est compliquée si elle doit être opérée par le pilote. Voilà pourquoi les usines ont développé des stratégies qui permettent de la faire de façon automatique. Imposer cela aux privés serait à la fois couteux et inutile. C’est pour cela que l’EOT qui a été publiée pour la journée Test ne spécifie pas de consommation par tour, ni par relais. Il n’y a donc pas de raison de lever le pied dans les voitures non hybrides. Tous les chiffres obtenus pendant la journée Test seront analysés par l’ ACO et la FIA et publiés pour la semaine de course.»

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Course de côte de Saint Gouéno – Présentation

IMG 0349Cap sur la Bretagne pour l’ultime rendez-vous de l’Ouest ! 
 En conclusion de la campagne de l’Ouest, qui a débuté en Normandie avant de passer par l’Anjou, les animateurs du Championnat de France se retrouveront ce premier week-end de juin en Bretagne, à l’occasion de la Course de Côte de Saint Gouëno.
    
Championnat Sport
On se souvient que l’an dernier, la Course de Côte de Saint Gouëno fut le théâtre d’une confrontation de haut vol entre Sébastien Petit et Geoffrey Schatz. Et il avait fallu toute la détermination du pilote du Team Petit CroisiEurope, pour qu’il parvienne à l’issue de la dernière montée, à placer sa Norma à moteur 4 litres devant la F3000 du jeune bourguignon.
Pour cette 35ème édition, les cartes sont rabattues… Sébastien Petit a délaissé son Proto CN+ pour une Norma en configuration européenne, et Geoffrey Schatz a troqué sa vénérable Reynard F3000 contre une Norma 4 litres plus performante. Une nouvelle distribution, qui donne du fil à retordre aux pronostiqueurs les plus obstinés. Vainqueur le week-end dernier à La Pommeraye, où il établissait un nouveau record de la piste, Sébastien Petit mettra tout en œuvre pour poursuivre sur sa lancée et signer en Bretagne un nouveau succès.
Mais il est clair que Geoffrey Schatz aura à cœur de défendre sa position de leader du Championnat, en gardant à l’esprit qu’un succès dans les Côtes-d’Armor aura pour effet d’assoir sa position. On peut donc s’attendre à une nouvelle confrontation où les deux hommes se disputeront la victoire à coup de dixièmes de secondes, avec en point de mire le record établi par Nicolas Schatz en 2016, en 1’13’’077.
Deuxième du Championnat à égalité de points avec Seb Petit, David Meillon visera une nouvelle fois une place sur le podium au volant de sa Norma à moteur 4 litres BMW. Dans le sillage des deux prétendants au titre, il aura comme principal objectif de réduire l’écart qui le sépare de la première place. David ne manquera pas de poursuivre sa progression régulière, avec une auto qui, si elle lui a donné de belles satisfactions, l’a également obligé à composer avec de nombreux soucis techniques.
Côté soucis techniques, Martine Hubert n’a pas été épargnée. La Normande tente de conserver sa pugnacité et un moral au beau fixe, face à une accumulation de problèmes qui l’empêche de tirer pleinement profit de sa Norma E2-SC.
Du côté des F3, absent à Thèreval et à La Pommeraye, l’Alsacien Billy Ritchen a bien l’intention de jouer les premiers rôles. Il devra pour s’imposer devancer David Guillaumard, vainqueur de la catégorie en terre angevine. La Championne de France en titre, Sarah Louvet, qui s’est imposé en F3 lors de sa dernière participation à Thèreval, a terminé deuxième des F3 à Saint Gouëno l’an dernier, et elle pourrait bien s’immiscer dans la lutte en tête. Mais il faudra compter avec d’autres animateurs du Championnat, tels que Clément Lebot ou Etienne Debarre, ou avec un jeune de la trempe de John Nicol.
L’an dernier, Julien Français avait phagocyté les débats sur les épreuves de l’Ouest, en s’imposant à trois reprises en CN/2. Vainqueur le week-end dernier et cinquième au scratch à La Pommeraye, le sociétaire du Team Petit CroisiEurope aura le statut de favori. Face à lui, on retrouvera Olivier Augusto, troisième à La Pommeraye, mais également le Champion de France 2ème Division Dimitri Pereira. Seront présents des pilotes d’expérience tels que Serge Thomas ou Jean-Jacques Louvet. Il faudra également compter avec de jeunes pilotes talentueux tels qu’Anthony Le Beller ou Kevin Durot.
Les trois TracKing, engagés cette saison sur le Championnat de France, seront de la partie en Bretagne. Fabien Bourgeon tentera donc de signer une nouvelle victoire en devançant Simon Taponard et Gilles Depierre.
Du côté des Formule Renault, comme son grand frère, Kevin Petit tentera de poursuivre dans la continuité de La Pommeraye et de remporter une nouvelle victoire dans la catégorie. Pour cela, il devra devancer notamment Jérôme Debarre et Marie Cammares.
 
Championnat Production
Du côté du Championnat Sport, une nouvelle fois les débats semblent ouverts à l’heure d’affronter cette Course de Côte de Saint Gouëno. Et une nouvelle fois les pilotes alsaciens devraient être à la fête.
Les deux derniers Vice-champions de France en titre, Christian et Philippe Schmitter, auront pour objectif se signer en Bretagne leur premier succès de la saison. Leader du Championnat Production, Philippe Schmitter se fixera bien évidemment pour mission de conserver sa position, et pour cela rien de mieux que de tenter d’imposer sa Renault R.S. 01. Christian, de son côté, tentera de placer sa Porsche 997 GT3 R au premier rang, afin de gommer un début de saison parfois difficile.
Il faudra nécessairement compter sur un troisième Alsacien en la personne du sextuple Champion de France, Nicolas Werver, qui devrait logiquement retrouver le Championnat au volant d’une Porsche 997 GT2 ayant subi les réparations nécessaires, consécutive à une sortie de route. Un autre pilote venu de l’Est pourrait s’immiscer dans la lutte entre Alsaciens. En effet, au volant de sa BMW M3 E92, Yannick Poinsignon a de sérieux arguments à faire valoir. Au sein du GTTS/4, Jean-Michel Lestienne poursuivra l’apprentissage de sa Ginetta G55, bien différente de la Mitjet avec laquelle il évoluait précédemment.
Des Mitjet qui ne manqueront pas d’offrir le spectacle. Parmi les animateurs de la classe GTTS/1 on retrouve Jean-Michel Godet face à Gwenaël Vaillant et Stéphane Le Crom. Une nouvelle fois, Frédéric Santarelli sera esseulé en GT de Série, ce qui ne l’empêchera pas d’assurer le show avec une Porsche Cayman toujours spectaculaire.
Victorieux du Groupe A à La Pommeraye, Jérôme Janny pointe à la troisième place du Championnat, et leader du Groupe A. Comme l’an dernier, le Lorrain tentera d’imposer sa Seat Léon Supercopa MK2. Ses rivaux les plus acharnés seront à n’en pas douter Francis Dosières et Antoine Uny, tous deux aux volants de Supercopa, le premier nommé disposant d’une MK3, le second d’une MK2. Saint Gouëno nous offrira également l’occasion d’assister à une nouvelle confrontation entre les Dupont, Sébastien et Julien alignent en effet leurs Léon au départ.
Seul représentant de la classe 4 du Groupe N, Pascal Cat devrait être en mesure de signer un nouveau succès de groupe, ce qui lui permettra d’augmenter encore son inaccessible record.
Forfait à La Pommeraye, on peut espérer que Samuel Durassier (Honda Civic) soit présent à Saint Gouëno, ne serait-ce que pour permettre à Brice Pierrat de ne pas être confronté uniquement à d’autres Clio dans sa classe. L’Alsacien se retrouvera en effet face à Patrick Ramus, Steve Jeanne et Christian Boullenger.
Le plateau en FC est cette année encore étoffé, et on retrouve en tête de liste le vainqueur Production à Thèreval, Christophe Poinsignon, qui aligne sa Simca CG Turbo face à la Scora de Geoffray Carcreff, ou au Jidé de Xavier Burgevin et Jérôme Moraines.
 
Championnat VHC
Pour bon nombre de pilotes, l’éloignement de la Bretagne n’incite pas à venir s’aligner sur la Course de Côte de Saint Gouëno, qui offre pourtant un cadre magnifique et une organisation sans faille. Ils seront malgré tout une dizaine à jouer le jeu, et à prendre part à la 8ème édition de l’épreuve bretonne dédiée aux Véhicules Historiques de Compétition.
Venu de Haute-Savoie, Jean-Claude Gaillard alignera sa Renault 5 GT Turbo en Groupe N. Du côté du Groupe 2, on retrouvera au départ la Simca 1000 Rallye III du Haut-Saônois Philippe Ginel confronté à l’Opel Commodore du Francilien Daniel Louis.
Le Groupe 4 accueille deux Alpine face à une Porsche. Représentants de la marque française, le Viennois Jean-Claude Demessine affrontera le Picard Philippe Brebant, alors que le Haut-Savoyards Roger Guelpa arbitrera les débats au volant de sa Porsche 911.
Du côté du Groupe 5, on retrouvera la Jidé Original de l’Héraultais Gabriel Lejeune, alors que le Savoyard Fernand Santarelli évoluera également seul avec sa Tiga SC 80 dans le groupe 6/7.
Enfin du côté du Groupe 8/9, venu du Territoire de Belfort, Roger-Serge Toupence alignera sa Martini MK 32 face à la Martini MK 25 du Haut-Saônois Sébastien Brisard

Liste des engagés.
 
6 – SAINT GOUENO
6ème manche du Championnat de France 2018 les 2 & 3 juin, à 40 km de Saint Brieuc (Côtes d’Armor)
35ème édition, 8ème édition VHC, organisée par l’Ecurie du Mené
Longueur : 3.200 mètres – Dénivellation : 144 mètres – Pente moyenne : 4,5 %
Podiums 2017 :
Sport : 1. S. Petit (Norma M20 FC) – G. Schatz (F3000 Reynard 01L) – 3. C. Frantz (Norma M20 FC)
Production : 1. P. Courroye (McLaren MP4 12C) – 2. A. Cosson (Porsche 997 GT3 Cup) – 3. G. Carcreff (Scora Maxi)
Record : 1’13’’077 par Nicolas Schatz en 2016
 
Déroulement : Vendredi 1er juin – Vérifications administratives et techniques
Samedi 2 juin – Essais libres à partir de 8h00, suivi de deux montées d’essais chronométrés.
Dimanche 3 juin – 3 Montées de Course à partir de 8h30

Site web : www.coursedecote-saintgoueno.com
 

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La Pommeraye – Nouveau record angevin pour Sébastien Petit !

IMG 0451Sous un soleil radieux, les pilotes ont pu pleinement exprimer leur talent sur la Course de Côte de La Pommeraye. Sébastien Petit signe un nouveau succès en battant son propre record, et Pierre Courroye impose sa McLaren en Production.
 
Championnat Sport
Les fortes averses qui ont sérieusement perturbé la journée d’essais de la Course de Côte de la Pommeraye, ont laissé place en ce dimanche à un soleil radieux. Ce changement radical de conditions climatiques ne pouvait que ravir les concurrents engagés sur cette cinquième manche du Championnat de France de la Montagne.
Les as du volant ont donc pu s’en donner à cœur joie et exprimer pleinement leur talent. Ce sera le cas de Sébastien Petit qui, vainqueur en 2011, 2015 et 2017, détenait le record du tracé depuis 2015. Un record que le sociétaire du Team Petit CroisiEurope a battu aujourd’hui, en bouclant la troisième montée de course en 50’144. Sébastien Petit signe en Anjou sa seconde victoire de la saison, après celle remportée devant le ’’gratin’’ européen sur les pentes du Col Saint-Pierre.
Loin d’avoir démérité, Geoffrey Schatz, le leader du Championnat, s’est une nouvelle fois présenté comme un adversaire coriace. Au volant de sa Norma à moteur 4 litres, le Bourguignon ne concède que six dixièmes à son rival, et termine donc à une probante deuxième place.
Pour sa première épreuve en France au volant de sa nouvelle Osella en configuration européenne, Cyrille Frantz retrouve une position qu’il connait bien, la troisième marche du podium. Une excellente performance pour le pilote d’Ornans qui a dû nécessairement gommer tout au long du week-end les soucis de jeunesse de sa monture.
Habitué du podium depuis le début de saison, David Meillon a bien failli se hisser une nouvelle fois sur la ’’boîte’’. En effet, 97 millièmes séparent seulement l’Osella de Cyrille Frantz, de la Norma 4 litres du pilote du Team Schatz Compétition.
La lutte pour la victoire en Proto 2 litres a été âprement disputée. Déjà vainqueur du CN/2 lors de la dernière édition, Julien Français récidive en imposant une nouvelle fois sa Norma. Il devance celle d’Anthony Le Beller, et celle d’Olivier Augusto qui complète le podium de la classe. Suivent les Norma de Serge Thomas et de Yannick Latreille, et la Ligier JS49 de Bruno Berton. Emportée par la fougue de sa jeunesse, Christopher Cappello est parti à la faute lors de la première montée, et s’il sort indemne de ce faux pas, il est malheureusement contraint à l’abandon.
Septième au général, David Guillaumard termine en tête des F3, catégorie dans laquelle il devance trois jeunes talents : Julien Bost, John Nicol et Clément Lebot. Anthony Gueudry place sa Martini MK 80 au quatrième rang, dans le sillage des Dallara.
Du côté des Formule Renault, le combat fut également sans répit. Et si Estel Bouche semblait tenir la victoire, dans un ultime effort, Kevin Petit parviendra à la déloger du premier rang. Pour un dixième, Kevin remporte cette épreuve, devant Estel, et Jérôme Debarre qui complète le podium de la Formule Renault.
Simon Taponard n’aura pas été autant à son affaire en course que durant les essais. Il place en effet son TracKing RC01 à la quatrième place d’un Groupe CM remporté par Denis Pilet au volant d’un Silver Car.

Championnat Production
Ils étaient près d’une quarantaine de concurrents engagés en Production à affronter, ce dimanche, les 2.430 mètres du tracé de la Course de Côte de La Pommeraye. Une nouvelle occasion de nous offrir des combats épiques dans chaque groupe que compte le Championnat.
Comme il l’a fait plus tôt dans la saison, à Bagnols-Sabran et à Abreschviller, Pierre Courroye s’impose sur le tracé angevin. Le jeune Champion de France a toutefois dû composer avec des problèmes de butée d’embrayage sur sa McLaren MP4 12C, ce qui l’a empêché de prendre part à la troisième montée de course. Mais, seul pilote de la catégorie Production à passer sous la barre de la minute, son chrono réalisé lors de la deuxième montée, lui permet de signer son troisième succès de la saison.
Une nouvelle fois Philippe Schmitter s’est présenté comme le plus sérieux adversaire du Champion de France en titre. Au volant de sa Renault R.S 01, l’Alsacien termine comme l’an dernier à la deuxième place. Mais il s’en est fallu de peu pour que l’ainé des Schmitter ne soit délogé du deuxième rang. Yannick Poinsignon, qui ce matin, suite à un souci mécanique, n’a pu prendre part à la première montée de course, termine ce soir à seulement 199 millièmes de la Silhouette Renault, et se hisse sur la troisième marche du podium.
Dans le sillage de la BMW M3 E92 du Vosgien, on retrouve la Porsche 997 GT3 R de Christian Schmitter, qui termine à trois dixièmes du podium. Le classement du GTTS/4 est complété par Jean-Michel Lestienne, qui malgré une petite faute sur la deuxième montée, peut se satisfaire pleinement de sa prestation au volant d’une Ginetta G55 qu’il découvrait à l’occasion de cette épreuve.
La lutte pour la suprématie en Groupe A tourne finalement à l’avantage de Jérôme Janny. Il coiffe Antoine Uny au poteau, à l’issue de l’ultime confrontation du week-end. Derrière les deux Seat Léon Supercopa MK2, on retrouve la MK3 de Francis Dosières, qui termine à seulement 54 millièmes de la deuxième place. A la suite, on retrouve deux Supercopa MK2, pilotées par Sébastien Dupont et Pascal Derré, et la Clio Cup 4 de Yann Machka qui remporte là une nouvelle victoire de classe.
Hier samedi, Geoffray Carcreff avait tiré profit des conditions météorologiques pour imposer sa Scora Maxi en tête du Production. Un exploit qu’il n’est pas parvenu à rééditer aujourd’hui… Mais il se consolera par une victoire en Groupe FC, où il devance la Simca CG Turbo de Christophe Poinsignon.
Difficile de faire choir Jean Turnel de son piédestal. Il place une nouvelle fois sa Peugeot 306 S16 en tête du F2000, catégorie dans laquelle il devance la Renault Clio de Brice Pierrat. Parmi les engagés à La Pommeraye, on retrouvait un autre animateur du Groupe F2000, Luc Ermann, dont la Peugeot 106 Maxi termine en tête de sa classe.
Au fil des épreuves, Pascal Cat se rapproche inexorablement de sa 80ème victoire en Groupe N. Le recordman de succès dans la catégorie repart d’Anjou avec une nouvelle ligne à son palmarès. Derrière la Renault Mégane RS de Cat, on retrouve la Honda Civic de Ferdinand Loton et la BMW M3 de Christian Sepchat. Jimmy Ermann signe quant à lui un succès en N/2 au volant de sa Peugeot 106 S16.
Seul représentant du GT de Série sur cette épreuve, Frédéric Santarelli (Porsche Cayman) n’aura pas eu à forcer son talent pour accrocher une victoire qui lui semblait promise. Du côté du GTTS/1 au sein duquel s’affrontent les Mitjet, Florian Bartaire remporte un large succès devant Gwenaël Vaillant et Jean-Michel Godet.
 
5 – LA POMMERAYE
5ème manche du Championnat de France 2018 les 26 & 27 mai, à 40 km d’Angers (Maine-et-Loire)
54ème édition, organisée par la Pommeraye Sport Auto
Longueur : 2.430 mètres – Dénivellation : 100 mètres – Pente moyenne : 4 %
 
Classement Sport :
1.S. Petit (Norma M20 FC) 50’’144 – 2. G. Schatz (Norma M20 FC) à 0’’677 – 3. C. Frantz (Osella PA30) à 3’’269 – 4. D. Meillon (Norma M20 FC) à 3’’366 – 5. J. Français (Norma M20 FC) à 4’’930 – 6. A. Le Beller (Norma M20 FC) à 5’’622 – 7. D. Guillaumard (Dallara F312) à 6’’925 – 8. O. Augusto (Norma M20 FC) 6’’998 – 9. B. Bouche (F3000 Reynard 99L) à 7’’119 – 10. S. Thomas (Norma M20 FC) à 7’’130.
 
Classement Production :
1. P. Courroye (McLaren MP4) 59’’584 – 2. P. Schmitter (Renault R.S 01) à 3’’011 – 3. Y. Poinsignon (BMW M3 E92) à 3’’210 – 4. C. Schmitter (Porsche 997 GT3 R) à 3’’561 – 5. J. Janny (Seat Léon Supercopa MK2) à 4’’795 – 6. A. Uny (Seat Léon Supercopa MK2) à 5’’254 – 7. G. Carcreff (Scora Maxi) à 5’’308 – 8. C. Poinsignon (Simca CG Turbo) à 5’’721 – 9. F. Dosières (Seat Léon Supercopa MK3) à 5’’888 – 10. X. Burgevin (Jidé) à 5’’983.
 
Prochaine épreuve : SAINT GOUENO
6ème manche du Championnat de France 2018 les 2 & 3 juin, à 40 km de Saint Brieuc (Côtes d’Armor)
35ème édition, 8ème édition VHC, organisée par l’Ecurie du Mené
Longueur : 3.200 mètres – Dénivellation : 144 mètres – Pente moyenne : 4,5 %
Site web : www.coursedecote-saintgoueno.com

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Course de côte de La Pommeraye – De gros enjeux en Anjou !

IMG 3393Après un passage par la Normandie, c’est en Anjou que se poursuit la campagne de l’Ouest. En ce week-end des 26 et 27 mai, les animateurs du Championnat de France de la Montagne affronteront le tracé de La Pommeraye.
   
Championnat Sport
La 54ème édition de la Course de Côte de La Pommeraye s’annonce particulièrement attrayante. Le plateau proposé permettra sans nul doute de belles empoignades dans les divers groupes et les diverses classes.
La lutte pour la victoire devrait opposer le leader du Championnat de France, Geoffrey Schatz, au tenant du titre Sébastien Petit… Le fer de lance du Team Petit CroisiEurope retrouve un de ses terrains de prédilections. Vainqueur en 2011, 2015 et 2017, Seb détient le record du tracé qu’il a établi en 2015, avec un chrono en 50’’669. Au volant de sa Norma M20 FC à moteur 3 litres, il aura pour ambition de signer un nouveau succès en terre angevine.
Deuxième en 2017, Geoffrey Schatz avait fait preuve d’une rare combativité au volant d’une F3000 moins performante que les Protos 4 litres qui lui étaient opposés. Pour cette 54ème édition, le jeune Bourguignon disposera de la Norma CN+ avec laquelle il a remporté cette saison les épreuves de Bagnols-Sabran, Abreschviller et Thèreval. Nul doute que Geoffrey aura à cœur d’imposer son Proto CN+, histoire d’accentuer son avance en tête du Championnat.
Dans le clan des CN+, il faudra bien évidemment suivre la prestation de David Meillon. Sa régularité lui permet d’occuper actuellement la deuxième place du Championnat, et une nouvelle fois David sera un sérieux prétendant au podium.
Cette cinquième manche du Championnat de France de la Montagne verra l’apparition de la toute nouvelle Osella PA 30 à moteur Cosworth de Cyrille Frantz. Le pilote d’Ornans fait là sa première course dans l’hexagone avec sa nouvelle monture, et aura pour objectif de démontrer sa compétitivité.
Le Groupe E2-SC est complété par la Norma M20F de la quadruple Championne de France, Martine Hubert, qui depuis le début de saison n’est pas épargnée par les problèmes. Espérons qu’elle connaitra enfin un week-end plus paisible, afin de tirer profit de sa nouvelle monture en configuration européenne.
Vainqueur de sa classe en 2017, Julien Français tentera une nouvelle fois d’imposer sa Norma en tête du CN/2. Il devra pour cela devancer Serge Thomas, lauréat de la classe l’année précédente, mais également l’expérimenté Olivier Augusto. Engagé initialement à La Pommeraye, Christopher Cappello a été victime le week-end dernier d’une violente sortie de route à Donzy, ce qui pourrait sérieusement remettre en cause sa participation. Sera en revanche bien présent Bruno Berton, seul avec sa Ligier face aux Norma. Il faudra également compter avec des pilotes qui, s’ils n’animent pas cette année le Championnat, peuvent jouer les premiers rôles dans la classe. C’est le cas de Yannick Latreille ou d’Anthony Le Beller.
Du côté du CM, les yeux seront tournés vers Simon Taponard qui, au volant de son TracKing RC01, sera le seul animateur du Championnat engagé dans la catégorie, présent à La Pommeraye.
Benoit Bouche se présente, au volant de sa F3000, comme le favori du Groupe DE. Mais les F3 seront nombreuses à briguer les premières places. Ce sera le cas de Billy Ritchen, actuel leader du Challenge Open. On retrouvera également à La Pommeraye son premier poursuivant, David Guillaumard. Anthony Gueudry pourrait également tirer son épingle du jeu au volant de sa Martini, tout comme Clément Lebot ou Christopher Giet. A suivre également celui qui l’an dernier s’était imposé dans la catégorie, Julien Bost.
Parmi les vainqueurs de classe de la dernière édition, on retrouvera Estel Bouche, victorieuse en Formule Renault, et qui devra batailler face au jeune et talentueux Kevin Petit ou à Jérôme Debarre.
 
Championnat Production
Le leader du Championnat, Nicolas Werver mettra à n’en pas douter tout en œuvre pour conserver sa position. L’Alsacien sait que pour cela il va devoir placer sa Porsche 997 GT2 au premier plan.
Car les prétendants à la victoire sont nombreux. Avec en premier lieu Pierre Courroye, qui l’an dernier avait imposé sa McLaren MP4 12C sur cette épreuve. Le jeune Champion de France se présente une nouvelle fois comme l’homme à battre, et sait que ses rivaux ne manqueront pas de le défier.
Parmi eux, les frères Schmitter, qui ont de sérieux arguments à faire valoir. Philippe a parfaitement pris la mesure de sa nouvelle Renault R.S. 01. Deuxième l’an dernier, l’Alsacien tentera de gravir une marche supplémentaire sur le podium. En 2017, c’est au troisième rang que l’on retrouvait Christian Schmitter. Le pilote de la Porsche 997 GT3 R connait cette année un début de saison difficile, avec des résultats qui ne sont pas toujours à la hauteur de ses attentes. Mais le Vice-champion de France reste une valeur sûre, et pourrait bien venir s’immiscer dans la lutte en tête.
La désillusion de la Course de Côte de Thèreval, où la victoire qui lui semblait promise lui a échappé, ne devrait pas affecter un combattant tel que Yannick Poinsignon. Au volant de sa BMW M3 E92, le Vosgien devra une nouvelle fois cravacher pour faire oublier le déficit de performance dont souffre sa monture face aux ’’grosses’’ cavaleries.
La Pommeraye sera l’occasion de découvrir une toute nouvelle voiture, la Ginetta G55 de Jean-Michel Lestienne. L’assureur de Chatillon-sur-Marne délaisse sa petite Mitjet et fait son entrée en lice avec une auto qui devrait susciter la curiosité du public.
Du côté de la classe GTTS/1, Florian Bartaire, qui a signé un premier succès à Donzy-le-Pertuis, sera confronté à Jean-Michel Godet dans la lutte qui opposera les Mitjet. Pour ce qui est du GT de Série, Frédéric Santarelli se retrouve un peu esseulé sur cette épreuve, mais ne devrait pas manquer l’opportunité, au volant de sa Porsche Cayman, de marquer de précieux points.
Les Seat Léon Supercopa devraient une nouvelle fois tenir le haut du pavé en Groupe A. Seront en lice le deuxième du Championnat, Francis Dosières, qui au volant de sa MK3 défiera la MK2 du vainqueur de la dernière édition, Jérôme Janny. Egalement au volant d’une MK2, Antoine Uny pourrait bien venir se mêler à la lutte en tête. Il faudra suivre également les Supercopa de Pascal Derré ou de Sébastien Dupont. Dans la classe A/4, la victoire ne devrait pas échapper à Yann Machka, dont la Clio Cup 4 n’aura pas d’opposition.
A Thèreval, Christophe Poinsignon remportait sa toute première victoire sur une manche du Championnat de France de la Montagne. Un succès qui a dû donner un regain de confiance au pilote de la Simca CG. A La Pommeraye, il tentera non seulement de s’imposer en FC, mais pourquoi pas de jouer les premiers rôles en Production.
Face à la Renault Mégane de Pascal Cat, on retrouvera en Groupe N la BMW M3 de Christian Sepchat. Jimmy Ermann aura pour sa part l’ambition d’imposer sa petite Peugeot 106 dans la classe N/2.
Du côté du F2000, il faudra nécessairement compter avec Jean Turnel. D’autant que le pilote de la Peugeot 306 confiait à l’issue de la Course de Côte de Thèreval, être enfin en totale osmose avec sa monture. Jean retrouvera face à lui la Honda Civic du vainqueur 2017, Samuel Durassier. Brice Pierrat aura comme objectif de placer sa Clio sur le podium du groupe, alors que Luc Ermann fera de son mieux pour briller au volant de sa Peugeot 106 Maxi.
 
5 – LA POMMERAYE
5ème manche du Championnat de France 2018 les 26 & 27 mai, à 40 km d’Angers (Maine-et-Loire)
54ème édition, organisée par la Pommeraye Sport Auto
Longueur : 2.430 mètres – Dénivellation : 100 mètres – Pente moyenne : 4 %
Podiums 2017 :
Sport : 1. S. Petit (Norma M20 FC) – G. Schatz (F3000 Reynard 01L) – 3. C. Frantz (Norma M20 FC)
Production : 1. P. Courroye (McLaren MP4 12C) – 2. P. Schmitter (Lamborghini Gallardo) – 3. C. Schmitter (Porsche 997 GT3 R)
Record : 50’’669 par Sébastien Petit en 2015
Déroulement : Vendredi 25 mai – Vérifications administratives et techniques
Samedi 26 mai – Essais libres à partir de 8h00, suivi de deux montées d’essais chronométrés.
Dimanche 27 mai – 3 Montées de Course à partir de 8h30.
 
Site web : www.Pommeraye-Sport-Auto.org

Liste des engagés.

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AlpineRT

Le Team Racing Technology annonce ses pilotes pour l’Alpine Elf Europa Cup 2018

AlpineRTLe Team Racing Technology engage deux pilotes pour la nouvelle Alpine Elf Europa Cup. Mathieu Blaise qui effectue sa première saison en sport automobile porte le #3 et le pilote “maison” Sylvain Noël, le #11. Les 2 Alpine A110 Cup ont effectué leur déverminage début mai, et une séance d’essais collectifs est programmée les 22 et 23 mai à Nogaro organisée par Signatech, le promoteur de la Série.

L’Alpine Elf Europa Cup
C’est une Série monotype Alpine Cup. La voiture est développée entièrement par l’équipe Signatech, également en charge du programme Alpine en Championnat du monde d’endurance avec le prototype Alpine A470. La base est l’Alpine A110 de série, mais avec des trains roulants spécifiques, un arceau et des nouvelles jantes signées Evo Corse en 18”. Michelin est le fournisseur exclusif des pneumatiques.
Sylvain Noël nous en dit plus sur la voiture : “Cette Alpine est très bien née, stable avec un bon ressenti au niveau des freins. Même si nous en sommes qu’aux prémices du développement, je peux y voir un réel potentiel et de quoi bien batailler contre mes petits camarades dans cette nouvelle Série monotype”.
Avec l’implication de Elf en tant que partenaire principal, la série est dorénavant appelée Alpine Elf Europa Cup. Une association expliquée par l’histoire commune entre les deux marques. 17 voitures sont d’ores et déjà engagées, et on y retrouve des grands noms du Sport Automobiles français.

Le calendrier:
L’Alpine Elf Europa Cup se déroule sur des circuits F1 ou ayant reçu la discipline reine. Sylvain Noël nous précise : “Ce calendrier va permettre de rouler sur des circuits mythiques liés à la Formule 1 et à l’histoire du sport automobile européen. C’est une opportunité unique pour nous, pilotes, de pouvoir s’exprimer sur de tels circuits !”
1-2 Juin : Circuit Paul Ricard
22-23 Juin : Nürburgring
14-15 juillet : Dijon
1-2 Septembre : Silverstone
22-23 Septembre : Spa
20-21 Octobre : Barcelone
 

Alpine A110 Cup – N°3 – Mathieu Blaise
Objectif : Top 10
Mathieu Blaise effectuera ses débuts en sport automobile cette saison. Après avoir écumé les circuits en Track Days, il décide donc de franchir le pas et de s’engager en Alpine Elf Europa Cup. La voiture courra sous les couleurs Allopneus.com puisqu’il n’est autre que le co-fondateur du site. Mathieu a pour objectif de confirmer en course ce qu’il a déjà montré comme potentiel en essais privés. L’objectif est d’être dans le Top 10 en début de saison. Sylvain Noël est à ses cotés pour lui faire bénéficier de toute son expérience du sport automobile de haut niveau afin de se retrouver dans les meilleurs conditions pour aborder ce nouveau défi qui lui tient particulièrement à cœur.
 

Alpine A110 Cup – N°11 – Sylvain Noël
Objectif : Podium
C’est la 30ème saison de sport automobile de Sylvain Noël et pour lui c’est l’occasion de toucher à une nouvelle discipline après avoir roulé avec succès en Formule France, Porsche Cup et GT4. Pour l’année de ses 50 ans, il portera la double casquette de Team Manager et de pilote dans cette première année d’Alpine Elf Europa Cup.
Sylvain Noël : “C’est un plateau de haut niveau qui se profile au vu de la liste des engagés et je vais devoir mettre à profit, mon expérience acquise dans les différentes disciplines auxquelles j’ai participé et la capacité de mise au point du Team Racing Technology pour être en haut de tableau dès l’ouverture de la saison au Paul Ricard début juin”.

 

Suivez le Team Racing Technology toute la saison 2018 d’Alpine Elf Europa Cup sur sa page Facebook et Instagram.
 

 

 

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T Nouet Pau

Théo Nouet dans les rues de Pau

T Nouet PauThéo Nouet, pilote de F4 soutenu par la Ligue Régional Bretagne Pays de la Loire, participait le week-end dernier à son second meeting du championnat de France dans les rues de Pau.

Le vendredi matin, le soleil est présent sur le circuit de Pau, pour la première journée du meeting. Lors des essais libres, Théo s’élance en pneus slicks, sur une piste qu’il ne connaît pas, pour rapidement rentrer dans le trio de tête.

Durant les qualifications de l’après-midi, notre pilote monte en puissance, avant de subir une sortie de route, le reléguant en 11éme position.

Le samedi matin, lors de la course 1, malgré plusieurs tentatives de dépassement, Théo termine 11 éme. La pluie arrive dans l’après-midi, laissant une course 2 très compliquée pour l’ensemble des pilotes. Suite à un très bon départ, il passe à la 8ème place, mais au 14ème tour, Théo ne peut éviter un concurrent en perdition : sa monoplace finit ainsi dans les rails en bout de ligne droite.

Dimanche matin, la 3e et dernière course du meeting a été perturbée par une averse, obligeant la direction de course à sortir le drapeau rouge au bout de quelques tours. Seule la moitié des points a été attribuée. Théo complétait alors le top-10, terminant son week-end par une note positive et importante pour la confiance.

Le mot de Théo : “Je remercie tous mes partenaires qui me font confiance et me soutiennent, ainsi que mon entourage. Je vais poursuivre avec détermination mon apprentissage de la monoplace, dans le 3ème meeting du championnat de France F4 2018, qui aura lieu les 1er, 2 et 3 juin en Belgique à SPA-Francorchamps.”

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IMG 5462

24 Heures du Mans – la liste des invités aux vérifications techniques et administratives

IMG 5462A J-30 du départ de la 86e édition des 24 heures du Mans, l’Automobile Club de l’Ouest dévoile la liste des concurrents, pilotes et équipes, invités à se présenter les 10 et 11 juin aux vérifications administratives et techniques.
 
Le décompte est symbolique : dans 30 jours sera donné le départ des 24 Heures du Mans 2018 ! Cette marque, l’Automobile Club de l’Ouest, organisateur de l’épreuve, l’a choisie pour dévoiler la liste officielle des invités aux vérifications techniques et administratives des 10 et 11 juin. Elle comporte les noms des soixante équipes retenues, ainsi que les pilotes que ces teams ont choisis pour participer à la classique de l’endurance. Toutefois, leur engagement ne deviendra officiel qu’à l’issue de ces vérifications techniques et administratives.
Ces soixante équipages se répartissent ainsi : 10 LMP1, dont 2 Hybrid, 20 LMP2, 17 LMGTE Pro et 13 LMGTE Am.
 
Cette édition 2018 (16-17 juin 2018) s’annonce plus que prometteuse par la qualité et la diversité de son plateau. Ainsi, côtés machines et constructeurs, de grands noms sont présents comme Toyota, Ferrari, Ford, Ferrari, Porsche, Aston Martin, BMW, Chevrolet.

Pour les pilotes, on remarquera une tendance ‘’F1’’ nouvelle, avec la présence d’un pilote en activité en Formule 1 et en Championnat du Monde d’Endurance FIA WEC, Fernando Alonso, double champion du monde de F1 (2005 et 2006). Ce double engagement est aujourd’hui assez rare pour être souligné. Rookies comme l’Espagnol au Mans, Jenson Button, champion du monde de F1 en 2009, Pastor Maldonado, vainqueur du GP d’Espagne en 2012 avec Williams, et Juan Pablo Montoya, vainqueur de 7 GP de F1 et des 500 Miles d’Indianapolis vont découvrir la compétition et l’ambiance de cette épreuve mythique.
D’autres concurrents ont évolué aussi en F1 comme par exemple Jean-Eric Vergne, Felipe Nasr, André Lotterer, Kamui Kobayashi, Kazuki Nakajima, Sébastien Buemi, Vitaly Petrov, Stéphane Sarrazin, Paul di Resta, Jan Magnussen, Sébastien Bourdais, Giancarlo Fisichella, Olivier Beretta, Bruno Senna, Jan Lammers ou encore Pedro Lamy.

Preuve du rayonnement international des 24 Heures du Mans, les stars américaines des séries outre atlantique ont répondu présent aux côtés de Sébastien Bourdais et Juan Pablo Montoya, comme Ryan Briscoe, ou encore Tony Kanaan et Scott Dixon, tous deux vainqueurs des 500 Miles d’Indianapolis.
Les vainqueurs du Mans (au général) sont en nombre aussi : André Lotterer, Neel Jani, Loïc Duval, Mike Rockenfeller, Marcel Fässler, Nick Tandy, Earl Bamber, Romain Dumas, Jan Lammers et Timo Bernhard.

Des champions issus des championnats composant la pyramide de l’endurance de l’ACO (notamment, WEC, ELMS et ALMS) sont également à l’affiche de cette 86e édition.

Cette formidable combinaison de talents, d’amateurs, de débutants comme de plus expérimentés, témoigne de l’identité des 24 Heures du Mans.
Avant les vérifications techniques et administratives, les équipes et certains pilotes auront l’opportunité de s’entraîner sur le circuit mythique des 24 Heures, lors de la Journée Test du 3 juin : voir la liste des engagés à la journée Test.

 

 

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OFAC 20DUBERNET

Autocross de Saint Vincent des Landes – Résumé

OFAC 20DUBERNETLe spectacle offert par les quelques 270 pilotes engagés, la détermination et les démonstrations de pilotage ont fait de Saint Vincent une édition qui restera dans les annales de l’Autocross et du Sprint Car Français. 

L’édition de Saint Vincent des Landes s’annonçait déjà comme une épreuve sensationnelle. La météo superbe sur la journée du dimanche et les quelques 5000 spectateurs venus s’amasser sur les abords du circuit sur la seule journée du dimanche en ont fait une année mémorable. Aussi et surtout, le spectacle offert par les quelques 270 pilotes engagés, l’intensité des courses, la détermination et les démonstrations de pilotage en ont fait une édition qui restera dans les annales de l’Autocross et du Sprint Car Français.
 
Super BUGGY : Jérôme MAKHLOUF est décidemment l’homme fort de ce championnat. Il a pourtant été sous la menace de Dany LEVEQUE(PETERS) ou Germain BOUCE (PETERS) durant le weekend, ces deux derniers ont dû abandonner en demi-finale. Le pilote de Thionville partageait donc la première ligne avec un surprenant Laurent JACQUIER (ALFA RACING) très impressionnant tout au long du weekend et Christophe PERRICHOT (PETERS). Parti depuis la deuxième ligne, François-Xavier BIVAUD et son châssis MAC devaient tout faire pour briller devant son public. Totalement déchaîné, FX nous a offert une superbe finale et va chercher la deuxième place de la finale sous les hourras du public avant de partir à la faute juste après l’abaissé du drapeau à damiers. Sébastien CHAMORET confirme les bonnes impressions de ce début de championnat et signe une belle troisième place, le pilote du Speedlort propulsé par le Porsche s’élançait pourtant de la troisième ligne.
 
Maxi TOURISME : Nicolas DUBERNET nous présentait ses nouvelles couleurs ce weekend. La Clio du GIRONDIN porte désormais les carrosseries du la Clio victorieuse du Trophée ANDROS dans les mains de JB DUBOURG et du DA RACING. Pourtant auteur de la pôle position, Stéphane GENET (Peugeot 206) aura été en proie à des soucis mécaniques et n’aura pas été en mesure de jouer aux avant-postes. Il en était de même pour Christophe RIGAUDIERE, le pilote de la POLO peine à trouver la solution pour le bon fonctionnement de son moteur compresseur. C’est donc Julien ISNARD (MEGANE), l’actuel leader du Championnat qui s’élançait aux côtés du Girondin DUBERNET et Emmanuel FILIPPA (TOYOTA AURIS). Nicolas DUBERNET remporte la victoire devant Emmanuel FILIPPA tandis que Jérôme PERRIER et sa superbe Peugeot 208 s’adjuge un podium et prouve qu’il aurait toute sa place en Championnat de France.
 
Sprint GIRLS : Julie MAKHLOUF s’élançait en pôle de la finale, elle partageait cette première ligne avec Marie PAPILLON (KAMIKAZ) qui a réalisé un superbe weekend à la maison. Double championne de France, Elisa CHEVILLON (ROSCROSS) se qualifiait en troisième place sur cette grille de départ. Ancienne pensionnaire de la Junior SPRINT, Léa POSTERLE (SPEED CAR) se qualifiait en deuxième ligne de la finale qu’elle partageait avec Mathilde BIVAUD (CAMOTOS). Auteur d’un départ canon, Julie MAKHLOUF prenait le commandement des opérations mais rapidement Elisa CHEVILLON venait la déborder pour s’emparer de la tête de la finale qu’elle en lâchera pas jusqu’à l’abaissée du drapeau à damiers. Julie MAKHLOUF termine deuxième et Mathilde BIVAUD s’offre un podium devant son public à Saint Vincent des Landes.
 
Buggy 1600 : Tout juste un an après sa première victoire en championnat de France, Thomas CHRISTOL l’emporte sur le circuit Bernard SEILLER, là où il héritait l’an passé du titre de « Petit Prince de l’Autocross Français ». Auteur d’un début de saison mitigé, le Toulousain avait besoin de se rassurer et devait absolument frapper un grand coup pour rester dans la course au titre. Damien CREPEAU (PROPULSION) signe une belle deuxième place le confortant ainsi en tête du classement général provisoire. Vincent MERCIER, double champion de Franc en titre se rassure ce weekend. En effet, en proie à des soucis de jeunesse sur sa toute nouvelle monture, il a profité des quelques jours fériés pour se concentrer avec le constructeur sur la mise au point du FAST&SPEED, le Toulousain signe une belle troisième place et se relance dans la course au titre. A noter la belle performance du « Gamin de Saint Vincent », Julien PRIME (PETERS) qui pour sa première course en Championnat de France de la Division BUGGY 1600 s’offre une superbe cinquième place devant son public.
 
Super SPRINT :  Vexé la samedi soir après être parti à la faute lors de la deuxième manche qualificatives, Loïc MAULNY a su se ressaisir et rester concentré le dimanche pour finalement s’élancer en première ligne de la finale aux côtés de David MEAT (ROSCROSS). La performance du weekend reste celle de Tony LHOMOND, ancien pensionnaire de la division Maxi Sprint, Tony LHOMOND a rejoint l’équipe G-SPEED. Auteur d’un weekend parfait, il s’élançait en pôle position de la finale. Loïc MAULNY est un funambule, le pilote du ROSCROSS remporte la finale devant Tony LHOMOND qui confirme l’efficacité des châssis G-SPEED. Cédric PERES se rassure, le Toulousain, termine troisième de cette finale et signe son premier podium de la saison au volant de son châssis CAMOTOS. 
 
 

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IMG 3122

Engagement pour la 36ème course de côte de LOC-EGUINER

IMG 3122L’écurie AMCM, organise le 20 mai prochain (week-end de la Pentecôte) la 36ème édition de la traditionnelle Course de côte régionale de LOC-EGUINER/LANDIVISIAU dans le Finistère.
 
A ce jour, seulement 17 demandes d’engagements ont été reçues.

La clôture des engagements étant fixée au mardi 15 mai 2018 à minuit, un rappel est lancé à tous les pilotes désireux de s’inscrire de prendre rapidement contact avec l’organisateur.

Tous les documents nécessairesaux engagements sont téléchargeables ici.

Amis pilotes nous comptons sur vous afin de pérenniser cette belle épreuve.

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